La vie éternelle est une damnation_ Edward Anthony Cullen [Terminé]

« Passeport, please ! »

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♦ Masen Cullen, Edward Anthony, Ed", née en 1901 à Chicago, 17 ans, Vampire & Lycéen

« I Am What I Am »

♦3 paragraphes - 1 paragraphe sur le caractère, 1 paragraphe sur le physique et le style et 1 paragraphe sur les relations - 10 lignes minimum par paragraphe

Edward est un vampire torturé. Toute sa vie il a souffert du malheur qu'il pouvait infligé aux autres, de ce qu'il était. Il se croit damné, mais on ne peut être damné si l'on croit toujours avoir une âme. Malgré le fait qu'il se croit un monstre, il est aussi très protecteur envers ceux à qui il tient, notamment sa famille, et sa chère Bella. C'est, d'après lui, Bella qui le plus besoin de sa protection, car elle est maladroite et s'attire constament des ennuis. Ainsi, il passe son temps à la protégée du moindre danger, un danger parfois présent par sa faute. Mais plus qu'un simple garde du corps, Edward est passioné, il l'aime et fera tout pour la garder en vie. C'est un vampire bienveillant qui ne fait du mal qu'à ceux qui se mettent en travers de son chemin et l'empêche de mener à bien sa mission.

Ed' est un vampire, par conséquent, il a toute la panoplie qui va avec. Sa peau est couleur de neige, ses yeux sont dorés grâce à son régime végétarien, il est grâcieux, adroit. Pour un garçon, il fait parti de la moyenne avec environ un mètre quatre vingt, ses cheveux sont couleur bronze coiffés courts mais en bataille, son visage est fin, son nez aquilin, ses lèvres son fines et pâles. Niveau vestimentaire, à cause ou grâce à sa soeur Alice, il est toujours à la mode. Mais ce qu'il préfère se sont les tenues simples, les jeans et les tee-shirt indémodables, accompagné de chaussure banales passe partout. Mais autant dire que ce genre de tenues n'existent que dans ses rêves les plus fous, jamais sa jeune soeur ne le laisserai aller au lycée pareillement vêtu. Aussi, d'un naturel pourtant discret, il se fait souvent remarqué par une paire de chaussure ou une paire de lunette un jour de brouillard...

Edward connait beaucoup de monde, grâce à sa vie incroyablement longue peut-être. Mais ceux toujours présents qu'il porte dans son coeur son tout les membres de sa famille. Tout d'abord, Carlisle, son père quelque part, car c'est lui qui l'a transformé. Puis Esmé, sa mère, une femme qui a toujours voulue des enfants et n'en a jamais réellement eut. Rosalie, sa soeur, celle qui aurait dût être l'élu de son coeur mais qui n'attira même pas son regard. Emmett, son frère, celui qui a su conquérir le coeur de la belle blonde, emplit d'humour et force, au sens propre du terme. Alice, débordante d'énergie, aime faire la fête, voit toujours tout trop en grand, et sa soeur à l'occasion. Jasper, un frère encore, toujours torturé, il ressent tout les sentiments présents dans une pièce. Sa vie a été dure, il est le membre qui se met le plus en retrait quand il le faut. Bella, ah Bella... Celle qui a su éveiller de l'interêt chez Edward, celle qui a su le réveiller et le rendre heureux, il donnerait tout pour elle, elle la complétement métamorphosé. Jacob, un loup, un ennemi par nature. Mais en dehors de cela, il fait tout pour lui enlever Bella.

« My Story Build Me »

♦ Histoire du personnage, 15 lignes

Je m'appelle Edward Cullen, j'ai 17 ans et je suis né en 1901 à Chicago. J'ai toujours vécu avec ma mère, l'époque était dûre, mais j'étais heureux. Mais en 1918, la grippe espagnole s'abbatit sur le pays, et ma mère et moi ne fûmes pas épargnés. Nous avons été voir un médecin, comme tout les autres habitants de la ville. Mais l'hopital était bondé, notre mort était imminante, je le savais. Au bout de quelque jours, ma mère mourut, sous le regard impuissant de notre médecin, le Dr. Cullen. J'allais faire de même, mais je n'en eu pas le temps. Le Dr. s'approcha de mon cou et me mordit.
La douleur était insoutenable, je ne pu m'empêcher de hurler. Des flammes me rongeaient de l'intérieur, brûlant chaque organe se trouvant sur son passage. Impuissant, je souhaiter mourir, et vite. Mais la douleur ne cessa pas, continuant à infiltrer mon corps, à prendre possesion de mes organes. Puis finalement, au bout de trois jours, la douleur se retira de chacun de mes membres, un par un, pour se concentrer sur mon coeur, celui-ci battait plus vite qu'il n'avait jamais battu tout au long de ma vie. Puis ce fut fini, j'étais mort, mon coeur s'était arrêté.

Je commençais une nouvelle vie au côtés du Dr. Carlisle Cullen. C'est un homme brillant qui a une vie fascinante. Il m'expliqua ce que j'étais devenu, les conséquences, les régles valables pour tous, et ses propres régles. J'étais donc devenu un vampire, un être qui, pour les humains est un monstre de la nuit, un buveur de sang, un être froid. Sur certains points ils n'ont pas totalement tord, je suis froid, je boit du sang, mais je peux sortir quand bon me semble, mais au soleil, au lieu de me consummer, je brille de mille feu tel des éclats de diamants incrustés dans ma peau.
Les régles générales étaient simples, ne pas se faire repérer par les humains. Mais les régles de Carlisle étaient plus complexes. Au lieu de s'abreuver de sang humain, il s nourissait de sang animal. J'eu beaucoup de mal avec cette phase, mais quand je compris sont point de vu, je me rengeais à ses côtés. Ensuite, non devions nous fondre parmis les humains. Une fois habitué à leur odeur, cela m'était devenu facile.

Après quelques années à vivre tout les deux, il transforma une jeune femme du doux nom d'Esmé. Celle-ci devint sa femme, et ma mère par la même occasion. Ensuite, se fut le tour de Rosalie. Carlisle avait espéré qu'elle serait pour moi ce qu'était Esmé pour lui, mais Rosalie n'était pas intéréssante à mes yeux. Elle resta ma soeur dans mon coeur. Mais j'avou qu'elle m'impressionna lorsqu'elle parcourut plusieurs kilomètres avec un jeune homme ensanglanté dans les bras. Elle aurait pu le transformé elle même, mais elle eut peur de ne pas trouver la force, alors elle l'avait ammené à Carlisle. Cette homme s'appelait Emmett, et ce fut lui qui entra dans le coeur de Rosalie. Un brin taquin et moqueur, Emmett était tout de même très attachant.
Je me souviens ensuite qu'une petite lutine est arrivée chez nous, et a déménagé toutes mes affaires au garage. Elle s'appelle Alice, et elle était venue accompagnée de Jasper, son compagnon. Alice est une fille pleine de vie, toujours à sauter partout, tout le contraire de Jasper qui est plutôt réservé et calme. Tout deux se sont installés, et sont devenus nos frères et soeur.

Notre vie était simple et nous étions heureux. Mais l'arrivée d'une nouvelle étudiante en ville bouleversa tout mon petit monde. Elle s'appelle Isabella Swan. Au début, je l'ai remarquée car elle était dans les pensées de tout les garçons. Elle était jolie et nouvelle, tous se sont jetés sur elle. Puis, en cours de biologie, son odeur était... la chose la plus attirante que je n'ai jamais senti. Elle sentait bon, j'avais envi de goûter son sang avec une telle puissance... que je m'exilai durant quelque jours pour recouvrer mes esprits. Quand je revins, m'étant nourit plus que nécessaire pour pouvoir lui parler, je la retrouvis en cours de biologie. Là, une chose que je n'avais pu remarquer avant m'énerva au plus haut point, tel qu'il fallait que je me rapproche d'elle et que je sâche. Je n'entendais pas ses pensées, je ne savais pas ce qu'elle pensait de la ville, de la classe, du temps, de moi... Je voulais savoir, tout savoir. Et c'est comme ça que j'appris à l'aimer. Elle est belle, intelligente, douce... Mais avec moi elle est en danger.

Alors j'ai fais une chose que jamais je ne me pardonnerai. Je l'ai quittée. Cela durant plusieurs mois. J'étais devenu bête, chassant, traquant, mais elle hantait mes pensées, je n'en pouvais plus, il fallait que je la revoit.
Quand Rosalie ma annoncé qu'elle avait sautée du haut d'une falaise, la seule pensée qui m'a traversée l'esprit était de mourir pour la rejoindre. Et à Voltera, j'ai cru que c'était arrivé, que j'étais mort et que je l'avais rejoind pour l'éternité.

Aujourd'hui je suis revenu, et je la protège plus que nécessaire peut-être, mais sans elle je n'ai plus de raison de vivre, elle est ma drogue, même plus que ça. Et chaque jour je me flagèle d'avoir pu la faire souffrir autant en la quittant.